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Altha-Ir

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Messages posté(e)s par Altha-Ir

  1. mais en tout cas je n'acheterais pas la console pour le simple fait que la Wiimote existe...
    E tu as totalement raison.

     

    Je suis aussi d'accord avec toi que le manque de "bon" jeu sur les gammes nintendo se révèle assez souvent, et c'est bien dommage.

     

    Sans doute que j'ai été trop marqué par les années 16 bits

     

    Là j'aimerais parlé de la "console virtuelle" que contient la Wii...qui permet de pouvoir jouer à des anciens jeux de nintendo et de sega( si je me trompe pas), ajoutant donc de "bon" voir "très bon" jeux à cette ludothèque(se jouant sans la wiimote)

     

    J'ai éprouvé la même sensation que toi Zzest. On s'est vraiment bien marré au début en y jouant, de part le gameplay particulier de la console... Mais l'amusement n'est que temporaire.

     

    Et si d'un côté c'était l'un des "buts"(je ne trouve pas le mot que je cherche) que chechait nintendo. Et si cette amusement temporaire était là pour obliger les gamer, qui comme j'en fait partie peuvent rester toute une journée devant leur console, à arrêter un moment à l'autre de jouer, pour reprendre leur partie plus tard...d'ailleur lorsque vous jouez à wiisport, lors du chargement, vous affiche un message disant de faire une petite pause, en éteignant la console et de continuer après...

     

    Peut être que nintendo n'a pas envi de faire sortir le hardcore gamer qui sommeil en chacun de nous, mais simplement l'amateur de jeux vidéo...

  2. Je ne suis pas trop au courant sur ce sujet, je sais que ça permet de s'envoyer des truc entre console et permet d'avoir des Mii qui font des va et viens dans votre joujou.

     

     

    Pour ce qui est du nunchuk, et de son indispensabilité....je dirais que ça dépend...

    Pour les gros jeux comme Zelda, Redsteel, call of duty 3 ...etc oui il est indispensable...

    Mais pour les petits jeux comme wiiplay et wii sport, tu ne t'en sert pas (sauf pour la boxe dans wiisport)

  3. Voici les fortes belles rimes que su écrire un noble Paladin.

     

     

     

     

    Du vieux conteur

     

    Venez amis buvons et écoutons l’histoire,

    Du meneur de légende étrange et beau vieillard.

    Il s’en venait parfois en notre humble demeure

    Quand déjà le beffroi égrenait ses dix heures.

    Ses chaussures usées par un si long voyage,

    Son manteau rapiécé et son chapeau sans age,

    Tout en lui évoquait le vagabond errant,

    Le spectre sans repos venu de l’ancien temps.

    Jamais il ne nous dit où ses pas le menait,

    Et l’on ne savait pas même d’où il venait.

    Il avançait nimbé d’un si épais mystère,

    Qu’il semblait étranger à tout pays sur terre.

    Je le revois entrer, s’assoire prés du feu

    Retirer son habit si sale et si suiffeux,

    Et tirant de sa poche une pipe de bois,

    Il mandait gentiment les rumeurs d’ici bas.

    Ensuite l’on mangeait un agape de roi

    Pour qu’enfin il oublie, et la route et le froid,

    Puis une fois repus nous nous trouvions bien sage

    Assis autour de lui pour partir en voyage.

     

    Alors d’une voix pure aux accents doux et tristes

    Maniée comme un pinceau par sa bouche d’artiste,

    Sur le vierge silence il peignait milles phrases ,

    Dont le couleur changeante en nos âmes s’embrase.

    Nul besoin d’artifice à ce divin conteur

    Pour éveiller en nous, nos rêves et nos peurs.

    Tout prenant dans ses yeux un aspect merveilleux.

    Des quelques fleurs fanées qui mourraient dans un coin

    Naissait en un instant un somptueux jardin,

    Où les elfes volaient entre les beaux pétales,

    Racontant leurs amours aux muettes étoiles.

    Le parquet poussiéreux était un grand désert,

    Où le vent de la nuit sifflotait de doux airs

    Chantant la liberté aux pieds des nécropoles,

    Se riant des esprits enfouis sous le sol.

    Un vieux couteau rouillé abandonné par terre

    Etait en vérité une lame de guerre,

    Brandie par un guerrier au nom fort reconnu

    Mais dont l’agilité, n’égalait la vertu.

    Nous visitions ainsi les château de jadis,

    Et l’île féerique où vit la fée Gladys.

    Relevant le défi de sombres chevaliers,

    Retenant le bon roi, dans leurs tours prisonniers.

    Nous avions découvert une jungle morbide,

    Un océan sans fin, une plaine livide.

    Combattu les démons, les monstres, les sorciers.

    Affronté un dragon et sauvé cent fermiers.

    Mais à toute légende il faut bien une fin,

    Alors nous revenions par de calmes chemins,

    Retrouvant notre lit et lui offrant le sien,

    Car une longue route attendait ce pèlerin.

     

    Cela fait maintenant dix ans qu’il n’est plus là.

    D’aucun croient qu’il est mort, que sa vie s’arrêta,

    Et qu’il gît loin d’ici, assoupit sous un chêne,

    Ecoutant les esprits racontaient leurs fredaines.

    Certains qu’il est trop vieux pour marcher chaque jour,

    Qu’il vit dans un palais avec son tendre amour.

    Moi je le sais parti, arpentant le vieux temps.

    Courant dans le passé, fier heureux et content.

  4. Note explicative : Les couleurs employées pour les roses sont celles de l’héraldique moyenâgeuse, argent signifie blanc, gueule rouge, or jaune et sable noir.

     

     

    Refrain :

    Quatre roses sont sur mon cœur

    Une de chaque couleur

    Quatre roses sont sur mon cœur

    Et s’abreuvent de mes pleurs

     

    Une rose d’argent fragile

    Au tendre parfum volatil,

    Me rappelle mon innocence

    Ombre passé de mon enfance,

    Dont le témoin renouvelé,

    Pétale d’ange ciselé

    Dans le doux velours de l’aurore,

    Est le plus précieux des trésors.

     

    Refrain

     

    Une rose de gueule ardent

    Recouvre mon feu débordant,

    Et aux heures sombres du jour

    Je me souviens de mon amour

    Qui me berça d’un ton si tendre,

    Et réduisit mon âme en cendre

    Dans le brasier qui prit mon être

    Afin de me faire renaître.

     

    Refrain

     

    Une rose d’or éclatant

    En mon cœur sa chaleur répand,

    Recréant un monde joli

    Rappelant de plus douces vies.

    Car celle-ci est bien la fleur

    Qui nous prodigue le bonheur,

    Et la peur de le voir s’enfuir

    Seul m’empêche de la cueillir.

     

    Refrain

     

    Une rose de sable attend

    En un maigre bourgeon patient,

    Que sonne enfin l’heure dernière

    Pour s’épanouir au cimetière.

    Rappelant à tous mon malheur

    En se lovant prés de mon cœur,

    Plantant en guise de racines

    Dans mon flanc ses tristes épines.

     

    Refrain

     

     

    Pas de moi ...j'aurais bien aimé

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