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reith
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SoulRipper Newbie

SoulRipper

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Le pentrite est un explo très puissant !!!

 

En outre il entre dans la composition de plusieurs types d'explosifs utilisés par les spéléologues, les militaires ou les terroristes :

 

LA PLASTRITE

 

La plastrite est le plastic militaire français. Il est composé de pentrite qui est un explosif très puissant (87% plus un liant à base de gomme et d'huile minérale). Sa couleur peut aller du blanc au jaune sale et dégage une odeur de gomme et est souvent gras au toucher.

 

LE SEMTEX

 

Le semtex était fabriqué en ex-Tchécoslovaquie. Il est composé de pentrite, d'hexogène, de caoutchouc et d'huile de paraffine.

 

Sa couleur est orange clair, il sent la gomme et il a été pendant un bon moment le plastic préféré des terroristes.

 

LE FORMEX F4

 

Il se présente sous forme de plaque. Il est composé de pentrite et de caoutchouc (89/11).

 

Le formex a la caractéristique de sentir la gomme et de ressembler à de la gomme !

 

:biere: ;-)

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SoulRipper Newbie

SoulRipper

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Salut

 

Dit donc Soul avec ton ancien avatar et maintenant sa !

 

TU ME FAIT PEUR !!!

 

:D  :lol:  :D  :lol:  

 

PS: Tu tire sa d'ou ?

 

:lol: :lol:

 

Ben disons que je m'intéressais de près au sujet... La chimie c'est plus qu'une passion ;)

 

:biere:

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reith Newbie

reith

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on appelle ça aussi le C4 : c'est les tags d'un certain groupe...

 

 

 

L'ecstasy augmenterait le risque de Parkinson

La prise d'ecstasy, même au cours d'une seule soirée dans sa vie, pourrait augmenter le risque à long terme de maladie de Parkinson. C'est ce que suggèrent les résultats d'une expérience réalisée par des chercheurs d'une prestigieuse université américaine et publiés aujourd'hui dans la revue Science. Des primates recevant le même jour une dose d'ecstasy fractionnée en trois fois présentent des lésions impressionnantes de certains neurones dits dopaminergiques, impliqués notamment dans la maladie de Parkinson. Même s'il faut se garder d'extrapoler sans réserve ce travail de l'animal à l'homme, la découverte d'un risque grave de plus lié à l'ecstasy devrait inciter à multiplier les messages de mise en garde vis-à-vis des adolescents et des jeunes adultes.

 

Martine Perez

[27 septembre 2002]

 

L'ecstasy, la drogue des fêtes, de la musique techno, de la danse et de la jeunesse, s'est largement répandue sur le marché de la toxicomanie depuis le début des années 90. Aujourd'hui, selon l'Observatoire des drogues, près de 6,7% des garçons âgés de dix-neuf ans en 2002 en ont déjà goûté. En France, en dix ans, sans doute plusieurs millions de jeunes adultes ont déjà expérimenté les effets psychostimulants de ce produit de synthèse illicite. Plusieurs effets sur la santé liés notamment à son usage répétitif ont déjà été établis.

 

Pour évaluer les effets neurologiques de la prise un seul jour d'ecstasy (MDMA), George A. Ricaurte et son équipe des départements de neurologie et de psychiatrie de l'Université de médecine Johns Hopkins (Baltimore, Etats-Unis) ont décidé de délivrer à cinq primates par voie intramusculaire de l'ecstasy trois fois à trois heures d'intervalle, pour une dose totale équivalant à celle prise lors d'une soirée. Ce protocole avait pour but de mimer l'utilisation humaine d'ecstasy: cette drogue est en général utilisée de manière fractionnée au cours d'une même fête, avec l'objectif de rester en forme toute une nuit sans dormir.

 

Les résultats visibles de l'expérience sont en eux-mêmes déjà assez spectaculaires: trois des singes ont, semble-t-il, bien toléré la drogue; un a présenté des problèmes moteurs, si bien qu'il n'a pas pu recevoir la troisième dose, et un est mort d'une hyperthermie dans les heures ayant suivi la dernière injection. Les trois singes apparemment en forme ont bénéficié deux semaines après la prise d'ecstasy d'une exploration complète de deux principaux neurotransmetteurs cérébraux, la sérotonine (qui joue un rôle dans l'humeur) et la dopamine (impliquée dans les phénomènes moteurs et la maladie de Parkinson).

 

Et, là, les observations des chercheurs sont vraiment impressionnantes. Dans le cerveau des trois primates examinés, le taux de sérotonine a chuté respectivement de 27%, 48% et 40%. Quant à celui de dopamine, il s'est littéralement effondré de 65%, 77% et 51%, ce qui est énorme. La même expérience a été reproduite chez des babouins, avec des conclusions similaires. A ce jour, les effets toxiques du MDMA sur le système sérotoninergique étaient déjà connus, même si l'on ignorait qu'une prise unique pouvait avoir des effets aussi délétères. La grande découverte de ce travail est l'impact massif de l'ecstasy pris un seul jour sur le système dopaminergique. Les atteintes des neurones sérotoninergiques sont en cause dans les troubles dépressifs. Alors que l'on sait qu'une altération des neurones dopaminergiques est à l'origine de la maladie de Parkinson. Par ailleurs, une fois lésé, le système dopaminergique ne récupère jamais complètement sa fonction initiale.

 

Ces résultats sont-ils extrapolables à l'homme? En particulier, si une dose unique peut induire de telles lésions cérébrales, pourquoi n'a-t-on pas déjà observé une augmentation de la maladie de Parkinson parmi les millions de jeunes utilisateurs, même si certains cas ont déjà été relatés dans la presse spécialisée? «Deux explications peuvent être apportées, répond le professeur George A. Ricaurte, dans la revue Science. D'abord, cette maladie liée à l'âge n'apparaît qu'au bout d'un certain temps, quand plus de 80% du système dopaminergique sont détruits. Par ailleurs, les effets de la MDMA sur la dopamine n'étant pas connus jusqu'alors, la prise d'ecstasy chez des personnes jeunes souffrant de Parkinson n'a pas été recherchée.» Et les auteurs de conclure que «l'usage de MDMA répété sur plusieurs heures augmente le risque de lésions du système dopaminergique dans le cerveau. Ces lésions, associées avec le déclin habituel de ce système avec l'âge, pourraient augmenter, plus tard dans la vie, le risque de survenue de la maladie de Parkinson.»

 

Pour le professeur Jean-Pol Tassin (spécialiste en neurobiologie, Collège de France), «il s'agit d'un beau travail scientifique, qui n'avait jamais été réalisé auparavant. Mais il faut se méfier des extrapolations hâtives. Les résultats expérimentaux exposés dans Science sont alarmants: en particulier, un singe sur cinq est mort d'une hyperthermie après la prise d'ecstasy, alors que cette complication survient dans un cas sur un million environ pour l'homme. Une des explications est que peut-être ces singes étaient particulièrement sensibles à ce produit, donné de surcroît par voie intramusculaire. Cela n'enlève rien au fait que l'ecstasy est un des produits les plus dangereux». Alan Leshner, directeur de l'Institut national sur l'abus de drogues aux Etats-Unis, estime lui qu'«on sait désormais que même une utilisation occasionnelle peut avoir des effets à long terme. Il faut adresser un message aux jeunes gens: ne faites pas d'expérience avec votre propre cerveau».

 

Une expertise collective de l'Inserm, il y a quelques années, avait analysé tous les effets connus sur la santé de l'ecstasy: immédiats (palpitations, nausées, douleurs, maux de tête, angoisse, tremblements...), exceptionnellement hyperthermie avec décès ou encore hépatite aiguë. A moyen terme, ont été observés des syndromes dépressifs, des psychoses paranoïaques et des troubles chroniques du sommeil. La liste pourrait peut-être s'allonger, avec, à plus long terme encore, l'augmentation du risque de Parkinson...

 

 

ça complète : d'un côté ya des mômes perdus de l'autre ya des tâches qui détruisent...

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Undertaker Newbie

Undertaker

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personne a mater France 3 hiers soir vers 23h30?y avais des bombes sales"faciles " a faire;la perte par les russes de 100 bombes valises,ben en aurais plein a 10 million de dollars pieces......que de bonne choses en perpectives :nerveux: :nerveux:

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