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Baptiste

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Messages posté(e)s par Baptiste

  1. Même si je ne t'aime pas beaucoup, je vais être sympa parce que ça m'embêterait que tu te retrouve en taule à cause de ça.

     

    Le problème que tu décris et souvent lié à une détection de p2p par ton fournisseur d'accès à internet (orange, free ...).

    Il a repéré que tu utilisais un logiciel de manière illégale, qui consomme de la bande passante, et donc qui lui coute de l'argent.

    Il bride donc ta connexion afin que tu te retrouve en lowid (dans le cas d'emule).

    Tu devrai bientôt recevoir par courrier une lettre de ton fai t'informant de cette restriction accompagnée d'une convocation dans un commissariat ou un tribunal de grande instance.

     

    Je te souhaite bonne chance

     

    (un ami s'est malheureusement retrouvé dans le même cas que toi, il a du payer 9000 € par oeuvre illégalement téléchargée. Il utilisait surtout le serveur xxpornjtaikcjokexx ...)

  2. On ne parle pas de la même chose,

     

    Le lien que tu donnes concerne le programme "Micro Portable Etudiant", organisée par le gouvernement, moi j'ai bénéficié des réductions étudiant faites par Apple, il ne s'agit pas du tout de la même chose.

     

    En plus de la réduction étudiant d'Apple, j'ai celle de l'OFUP dont je fais partie.

     

     

    Donc les "remises éducation" d'Apple (dont j'ai bénéficié donc) n'ont absolument rien avoir avec le programme MIPE du gouvernement :)

     

    Avec la seule réduction éducation d'Apple, ça me serait revenu à 1175 €, et sans aucune réduction à 1250 €.

  3. "A partir de 1099€" pour le 13"

     

    Avec les prix étudiants ça devrait être moins cher ;-)

    Pour les étudiants ils ne réduisent pas que le prix : ils ajoutent Ms Office à pas cher MAIS ils diminuent RAM et HDD par 2 ! :/

     

     

    C'est une blague ?

     

    Y'a rien de divisé par deux !

     

    2.16GHz Intel Core 2 Duo

    1GB 667 DDR2 SDRAM - 2x512MB

    120GB Serial ATA @ 5400 rpm

    Superdrive 8x

    No Modem

    No Optional Software

    None

    Keyboard/Mac OS-F

    Country Kit-FRA

     

    Les prix ont changé, en l'occurance j'ai payé 1150 € au lieu de 1250 €.

  4. Salut,

     

    C'est décidé, je m'achète un wide.

    22" me parait bien niveau taille.

    Vu que ça serait surtout pour regarder des films, je penche pour un écran brilliant.

    Malheureusement, des 22", j'en ai trouvé qu'un ! Un "Essentiel B" (Boulanger), qui a l'air pas mal d'après ce que j'ai pu voir en magasin (un beau panel de vidéos HD était présent sur la machine de démo !).

    Il n'existe pas d'autre modèle que ce dernier en brilliant ? Lesquels ?

     

    Merci

  5. RIA, Flex et la nouvelle génération d'applications avec Apollo

    Comment designers et développeurs tirent profit de ces nouveautés

     

    Les temps forts de cette conférence :

     

    * Mike Downey et sa présentation d'Apollo, la nouvelle génération d'applications, à l'extérieur du navigateur ver sle poste de travail qui permet d'associer Flash, Flex, HTML et Ajax.

    * Comment l'intégration, entre Creative Suite 3 et Flex permet de réaliser un workflow complet Désigner/ Développeur

    * Flex 3 en avant-première

     

     

    Agenda

     

    Le futur du développement d'applications web

    Frédéric Massy, Directeur Marketing Adobe, Europe de l'Ouest

     

    Un workflow Designer/Développeur : Le processus créatif de bout en bout grâce à l'intégration entre Flex et la Creative Suite 3

    Michael Chaize/Enrique Duvos, Consultants avant vente Adobe

     

    Découvrez en exclusivité les premières applications développées avec Apollo

    Mike Downey, Senior Product Manager Apollo Adobe

     

    Brainsonic the rich Media Factory : Retour d'expérience d'utilisation de l'ensemble des solutions Adobe

    Jean-Luis Bénard, Président Brainsonic

     

    Questions & Réponses

     

    La conférence sera suivie le 6 juin par un cocktail au cours duquel vous allez pouvoir échanger avec les intervenants et découvrir plus en détail les solutions présentées.

     

     

    Je fais suivre les invitations sur demande par mp ;) (c'est gratuit)

  6. Je dois tirer mon chapeau à l'enseigne Carrefour.

    J'ai été ce matin échanger mon DD, chose faite sans aucun problème (même pas besoin de justifier) et en plus ils vont essayer de récupérer mes données.

     

    Et là je suis en train de re-transférer mes rfichiers à la confortable vitesse de 25mo/s.

     

     

    :biere:

  7. Source : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...6-899116,0.html

     

     

     

    L'Etat veut-il tuer Internet en France ?

     

    Discrètement, en marge de la campagne, le gouvernement prépare un décret qui, s'il était appliqué, tuerait l'Internet "made in France". En effet, sous prétexte de surveiller au plus près les internautes, un décret d'application de la loi sur la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004, exige que les éditeurs de sites, les hébergeurs, les opérateurs de téléphonie fixe et mobile et les fournisseurs d'accès à Internet, conservent toutes les traces des internautes et des abonnés au mobile, pour les délivrer à la Police judiciaire ou à l'Etat, sur simple demande.

     

    Au-delà du coût incroyable que cette conservation représenterait, cette mesure ne pourrait que déclencher une défiance immédiate des Français à l'égard de leur téléphone mobile ou fixe, comme à l'égard des acteurs français d'Internet, assassinant instantanément l'économie numérique française, pourtant décrite comme stratégique par nos chers candidats.

     

    Le décret en préparation exprime le fantasme "Big Brother" : tout savoir sur tout et tous, même l'impossible. Selon ce texte, les opérateurs téléphoniques, les fournisseurs d'accès à Internet, les hébergeurs et les responsables de services en ligne (sites Web, blogs, etc.), devraient conserver pendant un an à leurs frais toutes les coordonnées et traces invisibles que laissent les utilisateurs lors d'un abonnement téléphonique ou à Internet, lors de leurs déplacements avec un téléphone allumé, lors de chaque appel ou de chaque connexion à Internet, de chaque diffusion ou consultation sur le Web d'un article, d'une photo, d'une vidéo, ou lors de chaque contribution à un blog.

     

    En substance, devraient être conservés les mots de passe, "pseudos", codes d'accès confidentiels et autres identifiants, numéros de carte bancaire, détails de paiement, numéros de téléphone, adresses e-mail, adresses postales, le numéro de l'ordinateur ou du téléphone utilisé, le moyen d'accès à un réseau, les date et heure d'appel, de connexion et de chacune de leurs consultations ou contributions sur un site Internet.

     

    A tant vouloir être exhaustif, le texte imposerait d'identifier quiconque, en France, aura mis en ligne, modifié ou supprimé une virgule dans son blog, un "chat", ou sur le Web. Techniquement, on peut, certes, tenter de savoir qui s'est connecté à un site et constater sur Internet ce qu'il diffuse à un instant donné.

     

    Mais en cherchant à conserver la trace de la publication d'un contenu qui aura, par la suite, été retiré, le texte impose de facto de mémoriser systématiquement tout ce qui est mis en ligne, modifié et supprimé sur "l'Internet français". De l'avis unanime des spécialistes, c'est économiquement et techniquement impossible. Même les Etats-Unis de George W. Bush et leur "Patriot Act" post-11-Septembre n'ont jamais envisagé pareille conservation ou réglementation, qui soulèverait sans doute l'opinion publique américaine d'aujourd'hui, mais s'opère sans bruit en France.

     

    Le coût, aussi bien pénal qu'économique, d'un tel dispositif serait colossal pour la France. En cas de résistance, ou juste de passivité, la sanction encourue est lourde : les fournisseurs d'accès à Internet ou les sites Internet français qui ne conserveraient pas toutes ces données seront passibles de 375 000 euros d'amende et leurs dirigeants, d'un an d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende, sans compter la fermeture de l'entreprise, l'interdiction d'exercer une activité commerciale, etc.

     

    Lors d'une réunion organisée en catimini le 8 mars 2007 par les ministères de l'intérieur et des finances - le ministère de la justice jouait, une nouvelle fois, les absents -, certains professionnels ont fait valoir, notamment, que cette conservation leur coûterait très cher en stockage informatique et en moyens humains. De plusieurs dizaines de milliers à plusieurs millions d'euros par an de perte nette.

     

    Pourtant, la plupart des sites Web, les Web radios, les blogs, la vidéo à la demande ou mobile, sont encore en quête d'un modèle économique pérenne. Déjà insécurisée par la complexité des enjeux de propriété intellectuelle, l'économie numérique de demain - celle du contenu et pas seulement de l'accès - serait encore fragilisée par une telle surenchère réglementaire franco-française.

     

    En imposant aux entreprises françaises d'être des auxiliaires de justice ou des "indics", l'Etat fragilise tout un pan de l'économie de demain et de la démocratie d'aujourd'hui, en favorisant qui plus est, la domination déjà outrancière des grands acteurs internationaux de l'Internet, qui ne seront pas impactés à l'étranger. Jusqu'alors, seuls les fournisseurs français d'accès à l'Internet et hébergeurs étaient soumis à cette exigence et l'Etat, qui avait promis des compensations financières aux coûts induits par une surveillance des moindres faits et gestes de leurs clients, met tant de mauvaise grâce à s'acquitter des indemnités dues que certains d'entre eux ont renoncé à en réclamer le règlement, préférant envisager la délocalisation pure et simple de leurs activités...

     

    Ces menaces proférées par quelques poids lourds de l'Internet en France font sourire Bercy, qui semble n'avoir pas encore compris qu'Internet est un réseau mondial dont de nombreux prestataires peuvent s'établir et payer leurs impôts presque où bon leur semble.

     

    Il reste que la confusion des genres est totale. Toutes les données conservées seraient accessibles à la police administrative (RG, DST, etc.) comme à la police judiciaire, pendant un an. Les réquisitions administratives pour la "prévention du terrorisme" seraient également conservées un an dans des fichiers tenus par les ministères de l'intérieur et de la défense. Les réponses à ces mêmes réquisitions - nos traces, donc - seraient, pour leur part, conservées pendant trois ans supplémentaires et communicables à la police judiciaire.

     

    Ainsi, des données récoltées sur la base de requêtes administratives initialement motivées par la prévention du terrorisme pourraient se retrouver dans le dossier d'un juge d'instruction en charge d'une affaire de droit à l'image, de diffamation ou de contrefaçon, par exemple, sans que les personnes mises en cause par des traces informatiques vieilles de 4 ans, puissent connaître - ni contester - l'origine ou la pertinence de ces données, ni le contexte dans lequel elles avaient été recueillies, en dehors de toute procédure judiciaire, sans magistrat ni contradictoire, quatre ans auparavant.

     

    Ce projet de décret constitue donc une véritable menace de mort. Il est inquiétant pour trois raisons essentielles. D'abord, le coût. A vouloir faire conserver et restituer par les entreprises, sous peine d'investissements à perte, de prison et d'amendes, des traces qu'elles n'ont pas de raisons ou de possibilité d'avoir, la France créerait une distorsion de concurrence au détriment de sa propre économie numérique, pourtant motrice de notre croissance. Un internaute choisira plus aisément un site non surveillé qu'un site français pour s'informer, même s'il n'a rien à craindre de sa recherche.

     

    Ensuite, la confusion entre le renseignement d'Etat et la justice, qui relègue la séparation des pouvoirs au rang de fiction juridique. Enfin, le risque qu'un tel dispositif ferait peser sur la régularité des procédures judiciaires au regard de notre procédure pénale. C'est-à-dire le risque de priver une politique de sécurité de toute efficacité.

     

    Certes, le gouvernement consultera la CNIL, brandie en épouvantail par les ministères. Mais l'avis de celle-ci, même défavorable, sera dépourvu du moindre effet juridique depuis la refonte de la loi informatique et libertés intervenue en 2004. Certes, l'équilibre entre sécurité, croissance, libertés et efficacité est complexe. Au demeurant, aucune de ces valeurs ne s'illustre dans ce projet de décret, dont la rédaction est aujourd'hui laissée à un consensus entre technocrates et techniciens qui, quels que soient les résultats des échéances électorales, seront encore là demain.

     

    Ce qui pourrait n'être qu'un décret illisible de plus est aujourd'hui une menace de mort pour le développement du numérique en France et pour tous les acteurs concernés de près ou de loin par celui-ci, de la presse aux blogueurs, en passant par la grande distribution, les opérateurs de téléphonie, les fournisseurs de logiciels, les fabricants d'ordinateurs, etc.

     

    Sous prétexte de lutter contre la menace réelle du terrorisme, l'Etat français prend - comme aucun autre - le risque de tuer une part non négligeable de l'avenir du pays, sans aucun état d'âme et dans le silence assourdissant d'une campagne présidentielle omniprésente sur Internet, mais muette sur le développement de l'Internet.

  8. J'espère que ce n'est que ça.

     

    Les fichiers que je suis en train de transférer là (des photos toujours, donc plein de petits fichiers) transitent à 3 mo/s (quand je vous dit qu'il est mort ^^)

    Alors que du DD qui fonctionne bien vers le DD USB ça tourne aux alentours de 25 - 30 mo/s

     

    Il me reste encore plus de 100go à transférer, je prends mon mal en patience et je prie pour qu'aucun des deux dd concernés (usb et le mort) ne claque parce que sinon ... x(

  9. Pfiu je comprends plus rien ^^

     

    Le formatage en NTFS ne fonctionnait pas, j'ai essayé en FAT 32 : ça marche.

    J'essaye de convertir en NTFS : ça marche

    Je reformate en NTFS : ça marche

    Et maintenant HDTune me met tout au vert.

    Je vais le faire tourner à fond jusqu'à dimanche et s'il tient pas lundi je vais l'échanger.

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