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Altha-Ir

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Messages posté(e)s par Altha-Ir

  1. alors citation :

     

    Heureux est l'etudiant qui comme la riviere peut suivre son cours sans sortir de son lit.

     

    De Gregdimano (membre de Blue-Hardware) : Malheureux est l'etudiant qui comme la riviere en cru doit sortir de son lit pour suivre son court

     

    je dédicace à Altha-Ir

     

     

     

    je suis touché par ton geste Gorgorgueu (sniff snifff):yais:

     

    arigatou :respect:

  2. moi perso je l'achete des qu'elle sort j'ai eu la NES ,la N64 ,le gamecube alor c'est pas demain la veille que je serai corronpu par Sony...et puis la manette... elle est terrible et puis quand vous voyez la vidéo de son utilisation vous avez deja envie de l'avoir entre les mains ^^.

  3. Si les princes savaient parler, les femmes se taire, les courtisans dire ce qu'ils pensent, et les domestiques s'éffacer, tout l'univers serait en paix.

     

     

    Le sage ne se montre pas, il brille. Il ne s'impose pas, on le remarque. Il ne se vante pas, on lui trouve des mérites. Il ne se pousse pas, il progresse. (Lao Tseu- philosophe chinois)

     

     

    Le bonheur est comme l'écho : il vous répond ; mais il ne vient pas. (proverbe roumain)

     

    La richesse donne aux jambes aux boiteux, de la beauté aux laids, et de l'intérêt aux larmes. (proverbe arménien)

  4. Il y a des choses que l'on ne peut savoir, faire ou expliquer. Savoir s'arrêter devant l'incompréhensible est la suprême sagesse.(proverbe chinois)

     

    La voie du Ciel c'est : Vaincre sans lutter, convaincre sans parler, faire venir sans appeler, réaliser dans la sérénité(Lao Tseu- philosophe chinois)

     

    Les âmes peuvent être plus nobles que le sang ; témoin l'esclave qui disait : "J'étoufferais mon fils sur le champ, si je soupçonnais qu'il dût ressembler à mon maître un instant."

     

    L'usage du monde conduit à la défiance, la défiance mène aux soupçons, les soupçons mènent à la finesse, la finesse à la méchanceté, et la méchanceté à tout.

     

    Ne louez pas les habiles, il n'y aura plus de compétitions. N'attribuez pas de valeurs aux objets rares, il n'y aura plus de voleurs. Ne montrez rien de désirable, les coeurs seront en paix. (Lao Tseu- philosophe chinois)

     

    Quand l'oiseau est près de mourir, son chant devient triste ; quand l'homme est près de mourir, ses paroles portent l'empreinte de la vertu. (attribué à Confucius)

  5. voici la derniere:

     

     

    Puis le noble Sigmar posa sa couronne

    Longue est ma barbe et le royaume est en paix

    Mais les dieux m'attendent dans leur fief.

    De mes chefs, le meilleur je dois désigner

    Pour régner après moi.

    Ce marteau que je tiens,

    Où il fut forgé retournera

    Sous la vigilante garde des nains.

    Ainsi en temps de crise, celui qui en est digne

    Le recevra des mains du Rois Kurgan

    Seul,je pars à présent

    Vers Karaz du peuple nain.

    Ainsi le saint Sigmar, le puissant guerrier

    et le plus des grands hommes,

    Entra dans la légende.

    Il sera revu qu'à son retour

    Son marteau en main

    Pour la victoire de l'Humanité,

    Sous le signe du dragon céleste à deux queues.

  6. voilà la sixieme:

     

     

    Long fut le régne du noble Sigmar

    De son royaume, nul orque

    N'ossait franchir les frontieres.

    A chaque chef et à chaque tribut

    Sigmar le sage confia l'une de ses contrées.

    Ainsi il nomma Alaric la nain

    A la forge, qui de tout son talent,

    Créa douze épées, une pour chaque chef.

    Le Saint Sigmar ordonna qu'elles servent

    A dispenser la justice pour son peuple.

    Il leurfit jurer de combattre les uns pour

    Les autres dans une union immortelle.

    C'est ainsi que chaque manoir de chef

    Devint une forteresse au royaume des hommes.

  7. Voici la quatrieme:

     

     

    Alors les chef vinrent à Sigmar , en son castel

    Combattons les gobelins, affrontons les orques!

    Sigmar, porteur du marteau , guide-nous.

    Armées du fer des nains.

    Les tribus partirent en guerre

    Contre orques et gobelins.

    Sur la plaine des batailles,

    Bordée du Stir majestueux

    Fut rencontrée la horde avide de sang.

    En rangs populeux venaient les gobelins,

    Plus qu'arbres en forêt les orques se comptaient,

    Plus que rocs en montagne de trolls on dénombrait.

    Quand aux humains, ils étaient peu.

    A eux, les dieux donnèrent la victoire,

    Au bord du Monde fuirent les gobelins

    Dont un grand nombre était tombé.

     

    Kurgan, Haut roi des nains,

    Dépêcha depuis son trône de Karak,

    Un noble messager,

    Alaric le Maître des Runes

    Venu des Montagnes Noires

    En traversant le col du Feu Noire.

    Là, gobelins en nombres incalculables,

    Hobgobelins que l'on ne pouvait dénombrer,

    Et orques noirs avides de tueries

    Assiégeaient les forteresses des nains.

    Que Sigmar, porteur du marteau,

    Vienne se battre au côté de son ami

    Que nul gobelin ne puisse séparer

    Nains et humains.

    Les humains affrontèrent l'ennemi,

    Le Col du Feu Noir ils traversèrent,

    Se frayant un chemin à travers la horde,

    Pour retrouver les nains, frère de bataille.

    Sigmar Heldenhammer et le Roi.

    Le Marteau des humains

    Et l'Enclume des nains.

     

     

     

    La cinquieme,c'est celle-ci:

     

     

    D'un cercle d'or sacré

    Forgé par Alaric

    Sigmar fut couronné

    Par le grand prêtre Ulric.

    Les chefs firent serment

    De toujours être unis

    Pour servir le plus grand,

    Au marteau de magie.

    Sigmar fit édifier,

    Près du Reik aux eaux bleues,

    Son palais pour régner,

    Un château majestueux.

  8. Voici la troisieme partie:

     

     

    Alors grandit la renommée

    De Sigmar,porteur du marteau

    Du haut roi des nains.

    Sigmar le chef suprême,

    Grand souverain des Unberogens,

    Et de tous les clans de l'humanité.

    Sauf des Teutogens:

    Qui diable est ce Sigmar?

    Déclarons-lui la guerre!

    Les hommes s'entre-tuent, oubliant les orques.

    Mais les dieux n'étaient point d'accord

    Vainqueur sera Sigmar.

    Unis seront les clans.

    Que l'humanité trouve son chef.

    Ainsi fut vaincu le chef Tentogen.

    Sigmar ,seigneur de tous les clans,

    Souverain de l'humanité.

  9. Voici la deuxieme:

     

     

    Chez les Unberogens

    Naquit en ces journées,

    Un enfant fils de chef

    A la gloire destiné.

    Les Dieux décrétèrent

    "Sigmar sera le nom,

    De celui dont le signe

    Annonce le renouveau".

     

    Quand les autres fuyaient,

    Sigmar encore gamin,

    De la hache paternelle

    Tranchait orques et gobelins.

    "Ne crains rien ma mère,

    Ne crains rien ma soeur,,

    La maison, le village,

    Ont trouvé défenseur!"

     

    Ils vinrent àSigmar,

    Tous guerrier de valeur.

    Et de l'élu des Dieux,

    Firent leur commandeur.

    "Ne soyons plus les proies

    Des orques et gobelins.

    Car c'est l'avénement de l'homme

    qui commence demain".

    Sigmar fut alarmé

    Qu'approchait hordes gobelines

    Dont butin et prisonniers

    Constituaient les rapines.

     

    Les humains tinrent la passe

    Tel un rempart vivant,

    Malgré leur pauvres armes

    Ils ignoraient le fer!

    Grande fut la victoire,

    Nombreus nains furent sauvés,

    Kurgan Barbe de fer

    Leur grand roi en premier.

    Le vénérable nain,

    Pour rançon capturé

    Grâce à Sigmar

    Retrouva la liberté.

     

    "Jamais au cours des ans

    N'ai-je vu tel bain de sang

    D'orques et gobelins

    Dans les montagnes des nains.

    Moi Kurgan je le dis

    Ce Sigmar est un brave,

    Il m'a sauvé la vie

    Et mon honneur il lave

    Qu'il vienne en mon palais,

    Le récompenserai,

    Festin sera donné

    Pour la victoire fêter.

    Prends ce marteau de guerre

    En fer béni des Dieux,

    Tombé ces cieux naguère

    Comme deux langue de feu".

    Il a reçu le don,

    Ornés des runes naines,

    Ghal-Maraz est son nom

    Brise-crâne dans la tienne.

  10. Cette histoire est en sept parties,voici la premiere:

     

     

    Lorseque se couche l'astre du jour,

    Quand se consume le bois dans l'âtre,

    Et que chopines se remplissent,

    Tels les nains chantons les sagas.

    La plus illustre est celle de Sigmar.

    Sigmar,le guerrier suprême.

    Prêtre l'oreille à présent,

    Et qu'à jamais l'espoir te mène.

     

    Au temps d'avant le temps,

    Partout étaient les orques,

    Et régnaient les ténebres.

    C'était le temps du malheur,

    Le temps du désespoir

    Le temps des prédateurs

    Dont les hommes étaient la proie.

    Au ciel ils levèrent les yeux,

    Pour implorer les dieux.

    Et les dieux répondirent.

     

    Dans les ténebres vint la lumiere,

    La grande torche des Dieux.

    Un dragon à deux queues

    Traversant le ciel en deuil.

    Et l'on s'interrogea l'un l'autre.

    Quel était ce présage?

    Les orques prirent peur

    et se mirent à l'abri du Prédateur.

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