Adriatika

Ah j'en pleure de joie... Ils ont donc bien existé, je n'ai pas rêvé...

Et moi j'ai la nostalgie des rochers qu'on trouvait dans les bureaux de tabac. Ils étaient plus haut et plus gros que les rochers suchard, enveloppés dans un papier doré. Je n'en ai jamais retrouvé. Sur les dimensions, le goût et tout ça, ce sont des souvenirs d'enfant, alors, en ce temps, tout était meilleur et plus grand. Il m'arrive même de me demander s'ils ont jamais existé, ces rochers... Pourtant je me souviens parfaitement du bureau de tabac, dans le petit centre commercial, à côté de la pharmacie dont les portes toutes en verre étaient si bien lavées qu'un jour, je m'y suis ouvert le front. Le contact avait été rude, et pourtant je continuais à ne pas voir la vitre. Incroyable. La pharmacienne m'a gentiment soigné. Elle était assez jolie et elle sentait bon. Elle était très douce. Comme quoi une prise de tête peut amener les premiers émois. Et pour me consoler, maman m'a emmené au bureau de tabac où j'ai choisi... Un gros rocher doré ! Alors les pommes, merci, c'est sans doute très bon pour Adam, mais pour approcher Eve, rien ne vaudra jamais le rocher. Si quelqu'un l'a vu, s'il connait son adresse, qu'il me contacte, et s'il peut m'en envoyer un par la poste, je chérirai son nom jusqu'à la quatrième génération. (PS : je parle du rocher, pas de la pharmacienne, n'est-ce pas ?)

Tant va la cruche à l'homme qu'à la fin elle se case :dingue:

Bonjour, Il me semble que l'argumentation de Liliwhite n'est pas si farfelue que cela. Cela s'explique... Nero est peut être, à juste titre, le logiciel le plus populaire. Cependant, pour une utilisation professionnelle (et notamment la gestion de copie multiple sur serveur, avec de haut niveaux de cryptage), seuls quelques logiciels sont au niveau. Dont RecordNow Max. Ils doivent pour cela répondre à un ensemble de normes -dont j'ai oublié le nom exact mais qui doit être quelque chose comme 508 standard compliance international consortium. Possible, dans ce cas, que RecordNow maintienne un contrôle étroit sur la qualité du signal, et ce du premier au dernier secteur d'un média. Ce que Nero ne fera sans doute qu'imparfaitement, en comparaison. Ce n'est qu'une hypothèse, mais elle me parait viable. Voilà, c'étaient my two pences.

"Houlà, elle nous fait peur cette défense. Elle n'est pas bien étanche." Thierry Rolland (à l'instant)

Bruno Carrette : "Mais ce ne serait pas un tampax que tu portes à l'oreille ?" Chantal Lauby : "Ah oui, flute, où ai-je mis mon crayon ?" Les Nuls

"N'écoutant que mon courage, qui ne me disait rien, je me gardais d'intervenir" Jules Valès

Qui veut voyager loin ménage sa monture :bou:

Maxtor fournit un utilitaire qui prépare le disque et copie intégralement tout autre DD. Je crois que c'est Maxblast.

Pas vu, on se mattait Le Retour Du Roi en famille... Une redif peut-être ?

Bonjour, J'ai deux souris Logitech USB. Utilité ? La mx700 se recharge mal quand le pc est sous tension. Et c'est rageant de voir s'afficher le message de niveau de piles bas. C'est là qu'intervient l'autre souris. La carte mère est une Abit at7 max2. La souris 2 est sur un HUB. Tout fonctionne nickel.

Décidemment... Tu as un logiciel de peer to peer (e.mule...) dont les dossiers en partage sont sur le même disque dur que celui qui héberge temp ?

Autres sources : On a employé le terme de roman d’éducation (Bildungsroman) pour désigner tous les récits qui décrivent les péripéties que connaît un héros dans son apprentissage du monde et qui montrent les leçons qui en sont tirées. C’est là le thème commun à la plupart des récits romanesques du XVIIIe siècle, moment où ce genre prend son essor : on nous conte l’aventure d’un héros qui sort de l’adolescence et qui expérimente l’efficacité ou les limites de son pouvoir sur le monde : Gil Blas, Tom Jones, La Vie de Marianne, Le Paysan parvenu, Candide, L’Ingénu (et même La Nouvelle Héloïse) ne racontent pas autre chose, les uns mettant l’accent sur l’éducation sociale, d’autres sur l’éducation morale, sentimentale ou sexuelle (Sade). L’inachèvement du roman, comme celui du Paysan parvenu et de La Vie de Marianne de Marivaux, désigne un risque d’aporie. Va donc voir là : http://www.chez.com/bacfrancais/paysan.htm

Des deux romans de sa maturité, l’un est aristocratique et romanesque (La Vie de Marianne, 1731-1742) et l’autre, publié simultanément, une fine critique des mythes du cœur (Le Paysan parvenu, 1734-1735). On retrouverait la même alternance entre les comédies qui exaltent le triomphe de l’amour et de la jeunesse (La Surprise de l’amour, 1722) et celles qui insistent sur l’empire de l’amour-propre ou des convenances sociales (La Double Inconstance, 1723), entre les comédies romanesques (Le Prince travesti, 1724) et les comédies sociales (L’Île des esclaves, 1725 ) ; mais ce qui caractérise le mieux la manière de Marivaux, ce qui nous a valu ses chefs-d’œuvre, Le Jeu de l’amour et du hasard (1730), Le Triomphe de l’amour (1732), Les Fausses Confidences (1737), c’est le jeu du rêve et de la réalité, la confrontation des élans du cœur et des préjugés. Ces comédies faites de « surprises » et de miracles, tendres et cruelles, toujours imprévisibles, révèlent autant de lucidité que de générosité : de ces qualités compensées est faite l’honnêteté de Marivaux. Ses journaux, centrés sur la création littéraire, se développent en esquisses de romans ; ses romans évoluent du journal à la scène parlée et donnent naissance à des comédies : Le Paysan parvenu devient La Commère (1741). La comédie représente pour Marivaux la forme la plus littéraire, la plus élaborée, peut-être parce qu’elle est la forme secrète de notre existence. Si chacun est dupe de l’apparence au point de changer de personnalité en changeant de robe de chambre, comme Jacob, le paysan parvenu, le théâtre est une école de vérité. Marivaux accentue le mirage théâtral ; ses acteurs échangent volontiers leurs masques et leurs identités, improvisant des intrigues et des mystifications ; ils semblent toujours avoir conscience de jouer, et leur langage lui-même n’est qu’une suite de jeux de mots. Mais l’homme étant constamment prisonnier de sa condition, des situations et du langage, le théâtre montre l’apprentissage de la liberté : au travers des masques, au hasard des répliques et des métaphores prises à la lettre, une autre vérité se fait jour ; le cœur « entrepris » parle une autre langue (Double Inconstance). Consacré à ces brèves illuminations, le théâtre de Marivaux est, par nature, poétique. Voilà, de tous les écrivains de la Régence, le plus pernicieux, le plus obstiné à détruire les certitudes de l’âge classique. Le roman avait évoqué des destinées, et la comédie, des caractères ; autant de modèles, de définitions de la vie et de l’homme ; il ne s’attache qu’à l’existence dans ce qu’elle a d’inimitable et d’informulable. Chacun de ses héros, prisonnier des circonstances, des rencontres, et de l’image qu’il veut donner de lui-même, accède, par la surprise du sentiment, à des instants de radieuse sincérité, brèves échappées sur « le monde vrai » qui nous est interdit. Fausses images qui se font et se défont, impressions du moment, inconstance ou vertige amoureux, telles sont les couleurs de l’univers marivaudien, d’un univers que l’on pourrait comparer à celui de Calderón ou de Shakespeare. Comme eux, Marivaux fait sentir la cruauté de la vie et la poésie des songes ; il donne à penser que la vie est un jeu dont la signification nous échappe, et qu’il appartient au poète d’en exprimer la grâce et le mouvement. Il a choisi d’exprimer l’éphémère, et c’est en quoi son art est véritablement rococo : l’enchantement du moment, le mouvement d’une existence qui se crée, l’inconstance même lui suffisent ; élans de bonté ou de fierté, ardeur à vivre et à aimer, aveux de souffrance ou impertinence, tout ce qui anime un être s’improvise sous nos yeux. Ce guetteur immobile ne se trahit jamais : attentif à restituer la forme et la musique de notre existence, il ne donne aucune leçon ; fidèlement, honnêtement, il trace les courbes de nos illusions. Auteur : Jean Sgard (Universalis)

Bon, j'ai paramétré comme pour la 2.8 (ignore safedisc) et la copie semble fonctionnelle, en tout cas à partir du même lecteur : Plextor Premium.

Une mise à jour de clonecd est-elle envisagée par les developers ? Je viens de tenter de faire une copie de sauvegarde de Harry Potter Quidditch, avant que les enfants ne détruisent l'original, Clony trouve Safedisc 2.9, Profiler 1.2 ne récupère rien et le site de Gowap annonce que la copie est à priori impossible... Quelqu'un aurait une info ? Merci par avance.

Sokar, tu as écrit : je suis pas dans une bonne periode Pourquoi, t'as pêté ton disque dur ou c'est menstruel ? Bon j'arrête là avant que Seb et les autres me tombent dessus à bras raccourcis :frenchy:

'soir Sokar, Tu as écrit : "sa fé un peu foutaj de poire aussi" Oui, et je te prie de m'en excuser. C'est un gros défaut que j'ai, et qui m'a vallu quelques douches écossaises. Méritées, bien sûr. Alors, sans rancune ?

Bonjour Erwan, tu as écrit : "ta oublié de fermer a un endroit" Ah oui, flute ! Tout à refaire. Bon reprenons : pench... :frenchy: :frenchy:

Non non, te faches pas Sokar, Chacun a sa place sur le web, et ce serait dommage de se priver d'un site traitant d'un sujet aussi vital, aussi essentiel que le Xaser III Skul et ses dérivés. Allez, reprend ta place dans le traffic. Tu m'inviteras pour la crémaillère, quand ton site sera aux p'tits oignons, et ce jour là on :biere:

Bonjour, A priori, ce type d'erreur n'est pas matériel. Plusieurs possibilités : - Tu as une version cr*** d'un soft de gravure. Même désinstallé, il reste des traces dans le registre. Utilise JV16 pour faire le ménage. (c'est la plus probable des solutions, surtout si tu as cumulé plusieurs softs de gravage). - Tu as une ancienne version d'anydvd (désinstalle). - Tu as un soft de capture et de traitement vidéo qui prend en charge le gravage (comme NeoDVD). Désinstalle. - Tu as un bins sur le service de gravage windows XP, si tu es sous cet OS (désactive le dans les outils d'administration). - Tu as tweaké la base de registres ? Tu peux tenter (sous Milennium ou XP) de restaurer une base propre, d'avant le problème). - Tu es en FAT 32 et ton répertoire temp est rempli à près de 2 Go. - Tu es en NTFS et ton disque dur est rempli à plus de 88 % alors que le fichier d'échange s'y trouve. (supprime les fichiers temporaires, fais de la place). - Le disque dur est trop fragmenté (euh...) Choisis un seul soft de gravage et installe la dernière version. Si c'est OK, tu peux tenter de réinstaller clonecd et autres. Si rien ne marche, tu peux tenter de tromper windows en désinstallant ton graveur, en éteignant le PC et en changeant les ports IDE.

'jour Sokar, Chez moi ça marche très bien, les écoute pas, c'est que des jaloux, et d'ailleurs voici un p'tit conseil pour les rendre tous encore plus jaloux. Alors tu prends ton Dreamweaver MX, et tu tapes : penchzereqozseiura=e)àfi ^plk'_ç'_'_'ç)=àsçd_&=peok=&")àç_r)a&àzeç_tèa)eràça_)àerç_az)ràaeçrè)àeçaà)tàeçè_a)=àzeç_èa=àzeç_ta=àezçrèazertyt azertazertazertqwertyqwertyazertyversusqwzeryazertyversusqwerty&éà)ç_è'(é)&"à'çè_(é)"'àç(_é)"'àç(_. Voilà, en ésperant que cela t'aidera à rendre ton site encore plus attractif. :frenchy:

"Tu es Pierre, et sur cette pierre je batirais mon église" JC, un soir de bamboche.

Ah il y a aussi : "Nous nous vîmes sans mil en arrivant au porc" un fermier du Gers (anonyme) récitant "Le Cidre" de Cornouailles.

"Tant va la vache au fleuve qu'à la fin elle s'abreuve" Moi, un soir de bamboche.